Day 6

7h15. 7h15 ?!?! Le lever le plus tôt pour les loosers à Cuba. Départ pour 8h30 vers Cayo Levisa. Il faudra 1h de car et 30 mn de bateau pour atteindre l’île avec plusieurs dizaines de touristes. Pour le coup, ça fait pas très plaisir.
10h30. Arrivée sur la plage, belle vue artificielle, des transats à dispo, des paillotes pour servir à manger et boire. Ok, c’est le truc à touristes mais la plage est belle.

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Romano se renseigne où est notre paillote pour déjeuner et revient avec des bières, c’est parfait !

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13h. Entre baignades et bronzettes, ça creuse. On prend nos paninis et cocktails, mojito pour JL et bières pour les autres. Le mojito est bon, peut-être le meilleur depuis notre arrivée.

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14h. C’est activité kayak de mer pour Audrey et JL, c’est parti pour 1h. Les efforts valaient la peine, la vue est belle.

15h. Il faut s’assurer que nous avons les meilleurs mojitos de Cuba, il en faudra 5 pour s’en assurer, ils sont bien, très bien.
17h. Départ de l’île prévue. Nous attendons sur le quai. Mais qu’est-ce qu’il dit le monsieur ? Que nous attendrons le prochain bateau dans 1h ?! On vient de se faire JLooser, nous n’avons pas pu rentrer dans le bateau. Coup dur.
Après 40mn d’attente, un autre bateau nous prend et on gagne notre bus sans encombre.
20h. Retour sur Vignales, on fait le check-up ; Pierrot a la couleur de son short de bain, rouge vif uniforme, Audrey a pris ses précautions, elle a mis de la crème de manière non uniforme, ce sera plaques rouge écarlate sur rouge vif. JL, romano et Yifan se contenteront de douloureux coup de soleil. Nous souffrons tous, douche puis repas.

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22h. A table, nous avons faim, très faim. Resto méditerranéen bien copieux et découverte de la pina colada, merveilleuse.
23h. Audrey, JL et Romano sont fatigués, un cigare et au lit. Pierrot après avoir tenté maintes fois de s’endormir au resto retrouve un dernier souffle et accompagne Yifan découvrir le carnaval. Des rues bondées de monde et des marchands de tout type : bouffe, boissons, fringues, accessoires, chaussures… On voit une scène, des enceintes qui crachent du reggeaton, du Rihanna, Adèle et de la techno, c’est ambiance. On attend que le concert arrive. Les cubains ne sont pas des pressés en la matière, on câble, déplace, branche, teste, reteste, recâble… 1h30 d’interminable attente, le concert commence enfin. « J’espère que ça va envoyer du lourd » lance Pierrot. Eh oui, ça envoie de la fête au village version cubaine, percussions en plus mais rien de transcendants. Contents d’avoir un peu profité de la fête mais c’est la JLoose qui aura eu raison de nous.
1h30. Retour du carnaval. Pierrot a tenu toute la soirée.
JL Mojito count : 20

Day 5

10h. Hola que tal ? Mais Audrey et Jl dorment encore ?
Petit dej copieux avalé, nous allons au centre de tourisme pour réserver une ballade à pieds dans la campagne environnante, et ainsi qu’une journée sur le Cayo Levisa, la 11ème plus belle plage du monde au nord de l’île. Ah Cayo Levisa est au Sud ? … Coup dur. Ceci fait, c’est l’heure de l’apéro puis déjeuner méditerranéen, c’est bon, mais le lapin au chocolat, c’est pas vraiment un truc cubain.

001-27032014-IMGP9997 Audrey a une mission ; finir une bouteille d’eau d’1,5L. Pourquoi ? Parce que le camion citerne vient de remplir les cuves à bière pour le carnaval de Vinales qui se déroule pendant 4 jours.

15h. Audrey a rempli sa mission, 1 cuc et 1,5L de bière, ça vaut le coup.

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JL et Romano s’occupent de Pierrot et apprennent les règles du jeu Citadelle. Il paraît qu’ils ont fini par comprendre…
16h. Randonnée dans les champs de Vinales avec notre guide, c’est très beau, la récolte de tabac touche à sa fin et nous avons une démo de roulage de cigare. 5km de marche dans des champs où nous sommes seuls avec les agriculteurs, ça valait le coup.

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Pierrot est content, nous aussi.
19h. On a soif, très soif. Il paraît que la casa sert des mojitos, ils sont moyen ; ils sont forts ; ah non ils sont bons…
20h. Vamos to the city où le carnaval commence à s’animer dans les rues. Quoi ? On peut se faire tatouer un ché à la peinture de voiture ? On peut pas rater ça. JL et Pierrot s’y colle.

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On s’écarte un peu du carnaval, histoire de manger en pouvant parler. Faut dire qu’ils mettent la musique fort les cubains. Repu, nous rentrons pour une dégustation de cigare et rhum dans le jardin et refaire le monde. C’est ravinant !
Minuit. 1h. 2h. C’est quoi ce raffût !?!?! Ah ouai, c’est le carnaval mais jusque dans nos lits, le sommeil viendra tard. Sale histoire.
JL Mojito count : 16

Day 4

Départ fixé pour vinàles à 14h, à 11h30 nous quittons les casas pour la station de bus. La casa nous propose un taxi sur deux trajets à 5 cuc. Evidemment, on paye 10 CUC au total. On s’est encore fait arnaquer. Décidément, ces cubains….

A la station de bus, une dizaine de taxi attends. Et en général, quand on voit une dizaine de taxi cubain attendant le touriste, mieux vaut s’éloigner discrètement…. Et évidemment, un couple de japonais arrive tranquillement à pied. Ils n’ont pas le temps d’ouvrir la bouche qu’une nuée de chauffeur de taxi les encerclent en criant des prix mi-espagnol mi-anglais, traumatisant littéralement le couple. Yifan, solidarité asiatique oblige, va les aider et les libère des chauffeurs. Les visages sont vraiment décomposés. Quand la glace du japon rencontre le feu cubain, forcément… ça fait de l’eau. Pas de chance pour eux, ils ne parlent ni anglais, ni espagnol… On ne saura jamais s’ils ont compris Yifan leur indiquant d’aller un peu plus loin.

Tous ça nous a donné soif. A côté un resto fermé, ah non, un mec nous ouvre la porte. Dedans c’est noir, ok le concept c’est vampires… On commandes les bières, le 8e mojito de JL, un acetunas pour Yifan, un sandwich fromage pour Pierrot et trois jambon fromage pour terminer. On sert des olives dans une coupe de dessert à Yifan, il drague le serveur ? Ah non, c’est ça aceitunas, des olives, c’est parfait pour un repas. Au bout de 45mn et trois allées et venues du cuisto à l’extérieur, on se pose des questions, le verdict tombe, on a pas de jambon et des crackers à la place du pain, ça nous paraît parfait pour un repas… Coup dur.

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14h00. Le trajet dure 3h30. Sans encombre et on s’octroie même une pause pipi dans une station en bord de route, on avait soif, on ne fait pas long feu des deux bières Crystal et Pierrot a eu sa glace.

18h. Descente de stars : une horde de gens nous agrippent et nous hurlent de prendre leur casa, nous trouvons un panneau « Yisan et Alexander », sauvés.
Nous découvrons notre chambre, deux petites maisonnettes indépendantes, un jardin avec cour, on va être bien pour fumer nos cigares.
19h. Première découverte de la ville et nous avons soif.

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Premiers mojitos et bières de Vinales, on est bien ! On mange et Pierrot s’endort à table, c’est avec JL, Romano et Yifan que nous terminons la soirée par le test du premier cigare cubain Monte Christo 2 arrosé de rhum, ça pue le cigare mais les garçons apprécient. C’est comme ça qu’on refait le monde ?!

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JL Mojito count : 11

Day 3

Audrey est HS. Une consultation s’impose. Direction la Cuba Garcia clinica. Prise en charge rapide et y’a de l’efficacité. Ça fait plaisir. L’autre groupe à la garde de pierrot avec 6 pesos, coup dur ! Ils vont faire du change ; la banquière nous regarde surprise, 7 ans de salaire cubain ça fait quelque chose. Prise de billets de bus pour viajes, tout le monde se retrouve au capitole. Premier achat de cigares. Le Montecristo numéro 4 est le plus vendu. Du coup il n’y en a plus. Coup dur.
On prend 4 cigares numéro 2 (drey en est privé avec sa sinusite/angine/pharyngite) et 5 billets pour une visite de la fabrication à notre retour à la havane. Grosse organisation. Le guide du routard nous guide pour manger.

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Bonne adresse. Pas cher.
Audrey est complètement HS. L’effet Médoc. JL la ramène.
À ce moment précis, orage tropical sur La Havane, il faut trouver un abri pour Pierrot. Arrivée sur la place vieja on cherche une adresse, on trouve le café El Escorial où on boit du bon café et des gâteaux, rien à redire pour Romano. Un cappucino, deux cafés-rhum, deux parts de gâteaux, un espresso, une bouteille d’eau, au bout de 3h et des vieux touristes avec escortes girls de 18ans plus tard, on se demande ce que fait jilou, il s’est sûrement endormi. On se dirige vers le château pour quelques clichés. 200m faits, on reçoit de JL « vous êtes où? », réponse « on vient de quitter le café », Jl enchaîne « j’arrive ». On fait demi-tour, on vient de se faire JLoosé. Un fois revenu sur nos pas, notre Pierrot nous annonce qu’il sent la tourista carabinée est proche, romano en tant que G.O. propose deux capsules d’immodium. Yifan précise la posologie, faire fondre sous la langue. 2 minutes plus tard : « ahhhhh mais c’est dégueulasse !!! », Pierrot s’est fait Yifané, il fallait l’avaler avec de l’eau… Message de Jl : « bon, ça va être compliqué, je ne capte pas de la chambre ». On s’est fait JLoosé bis.
On repart pour le château, « faut qu’on s’arrête », la tourista  de Pierrot a parlé, on lui trouve un bar-piano chic, il faut au moins ça pour notre Pierrot. Dame pipi : 0.5 cuc, le fast pass toilette prioritaire : 0.3 cuc pour le mec qui attendait pour les toilettes. Notre Pierrot est content.
Retour à la casa.
19h30. Audrey n’est pas au top de sa forme. On repart à 4 vers le centre de La Havane pour manger et aller à la casa musica ensuite. On trouve un resto charmant étant donné qu’on nous a offert 2 mojitos et une bière, la bouffe fût bonne au passage.

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23h00. Retour à la casa musica, le havana show est prévu à 23h00, 10 cuc l’entrée, allez on va voir. Direction la file d’attente. Deux cartouches devant nous. A tiens, le videur les recale. Un mec arrive, donne un billet. A tiens, les cartouches passent… On rentre paye les 10 cuc et… passe le scanner d’arme à feu. (avec succès).

Les filles habillées en tenues de soirée hauts talons et jupes trop courtes, les mecs aussi mais sans les talons et les jupes. Les loosers sont en short et tee-shirt, aucune raison, on nous fait entrer par la grande porte. A l’intérieur, ambiance boîte de nuit, scène, pistes et tables, on nous propose une bouteille, on refuse, on nous fait comprendre que le reste de la soirée sera debout.

Les cartouches ont une technique pour approcher les mâles dominants : une caresse sur le bras suivit d’un « Hola ». JL est la première victime, deux cubaines plus tard, il procède à un changement stratégique de place et  laisse Romano faire front de son corps pour protéger Pierrot. Sale histoire.
0h30. On se rend compte qu’il n’y aura rien de plus que des clips de salsa et reggeaton sur les écrans, les garçons n’en peuvent plus, on décide de se rentrer. La JLoose a encore frappé.
JL Mojito count : 7

Day 2

10h00 : ola Qué Tal.
Petit dejeuné groupé servit par notre hôte. Un café pour réveiller les morts, une omelette, une coupe de fruits, et un jus de pena que les experts ont qualifié de mirabelle.
Nous partons à la découverte de la havane avec le chargeur solaire de pierrot accroché au sac de Romano. On sait l’occuper notre pierrot !
La Havane est une ville usée non dénuée de charme. Les voitures des année 50 sont nombreuses, des maisons / appartements délabrés, des entretenus, et une ambiance « Qué calor » ! Comme d’habitude, on se met à marcher.
« Salut, dans deux jours tu seras bronzé comme un cubain. » Ah, tiens, voilà la loose. Un cubain tchatche avec Romain et Yifan en anglais (pour un cubain c’est louche). Il dit qu’il est agent de sécurité dans un hôtel et il veut nous accompagner dans la direction du centre ville.
On marche, on marche, on marche.
Du coup, on a soif. On paye un mojito à la loose. Un deuxième et on décolle. Il a une copine de 19ans et un fils de 2 mois.

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La cuanta por favor. Ça sera 40 non 50 non 60 cuc. 5cuc le mojito…. On sort du bar, la loose y retourne bizarrement… On se rend compte de la loose. On lui dit au revoir.

On marche, direction El viejo havana. Une ambiance unique. On s’arrête manger un bout (et boire un mojito). On continue de se perdre dans les rues pittoresques.

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On fatigue et on décide de prendre un taxi pour rentrer à la casa particular. Taxi old school. Bonne ambiance.
On se repose pour être opérationnel pour la vie nocturne de la havane.
19h00. Yifan se fait réparer ses chaussures made in china… 1h plus tard elle revient, c’est long les cordonniers à La Havane.
20h00. On est chaud, direction le havana club, en bas de notre avenue. Aujourd’hui c’est un comique au programme… Vu notre niveau d’espagnol, on abandonne.
On se retrouve  à marcher sur une 2×2 voie. Impossible pour avoir un taxi… On marche… Finalement on trouve notre bonheur. Direction la veille place de havana pour aller à la Factoria, bar cubain brassant sa propre bière. On est encore loin des clichés cubain. On mange et on boit (des girafes, ça fait plaisir). Le restau/bar ferme. Direction le El Paris où nous ne serons même pas servi. Sale histoire. Mais où est la réputation des soirées cubaines ?

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Back to home.

 

JL Mojito count : 4

Day one

Voyage avec air Europa. Une sale histoire. Pas de place, service médiocre et bière payante. Heureusement pierrolito est là pour nous rappeler l’essentiel : ce qu’on cherche c’est aller d’un point A à un point B, point barre.
Arrivée à la havane. 45min pour présenter son passeport. J’aime autant vous dire que notre Pierrot n’avait pas le sourire.
Tous les sacs sont là, prise de taxi et découverte de notre logement. Une maison type colonial, hauteur de plafond : 5 mètres (environ). On est plutôt content.
On a soif. Très soif. On se fait amener à un petit resto. Découverte de la bière locale, la Crystal et du premier mojito tenté par yifan. De la langouste et du Lomo, on est repu on part dormir.

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JL Mojito Count : 0

Next step : Cuba

Les loosers sont de retour. Nouvelle année, nouvelle destination : Cuba ! Terre de salsa, de rhum et de mojito. Il nous fallait au moins ça !

Let’s go pour la découverte de l’univers du Ché, du cubain bodybuildé et de la cubaine à la réputation sulfureuse.

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Day Fifteen

Raconter 16 heures de voyages, c’est un peu inutile. Mais vu que la loose n’est jamais loin, évidemment, en arrivant à l’aéroport, nos JR pass étaient expirés. On devait éclater le pot commun. On lui en a encore enlever 10 000 yens pour notre dernier trajet ferré japonais…

Le Japon, c’est fait.

Day Fourteen – The last

Dernier jour à Tokyo, dernier jour au Japon. Levé un peu plus tôt que tout le monde pour Yifan, elle veut réussir à trouver l’édition japonaise du dernier cd des Daft Punk. Pour les autres, c’était un classique10h00, on ne change pas les bonnes habitudes. Retour d’Yifan, elle l’a trouvé, du coup, elle en a pris 10.  Espérons qu’il en reste pour les japonais.

Aujourd’hui, l’objectif, ce sont les dernières emplettes. Direction le quartier de Roppongi qui doit avoir un centre commercial. Il fait encore très chaud, et nous décidons d’y aller à pied. Histoire que JL transpire encore un peu. 3km plus tard, on tombe sur un mac café sponsorisé par Barista, nous sommes donc obligé de tester les caramel macchiato. Gros level, on regrette pas. Nous trouvons rapidement le centre commercial. Beaucoup trop classe pour nous. Nous y faisons un tour quand même, Romain doit poster ses cartes. Evidemment, la poste ferme 10 minutes avant qu’il arrive.

Un petit tour au supermarché, Romain veut ramener une whisky, on a pas fait tout ces benchmarks pour rien. Encore un fiasco, les bonnes marques ne sont pas représentées Nous continuons notre tour du centre. On tombe sur un Uniqlo.  Yifan est over motivée et Jl doit se racheter des slips. C’est parfait. Jl en a pour 5 minutes,  Yifan pour 1h.

Un resto de Sushi est juste à côté, c’est parfait, on a un pot commun à dilapider. New High Score sur l’addition pour un midi.

Nous continuons notre tour de Roppongi en nous perdant dans les rues. Il fait toujours très chaud. Beaucoup trop. On repart tranquillement à l’appart, en profitant de prendre nos tickets JR pour le lendemain 6h12, histoire de se reposer avant notre dernière soirée.

Pour manger, on veut reprendre le ramen pimenté de Kyoto (Chaine Ippudo). Nous en trouvons un à Ebisu, à une station de Shibuya. La faim appelle la faim, et dernière soirée oblige, retour à Shibuya pour un dernier Burger King.

Face au Burger King, un karakoé. C’est parti. Full Japonais, on ne comprend rien. Le mec à l’entrée  nous informe qu’il y a de l’anglais. On monte donc à l’accueil, et ça fait la queue. les japonais aiment beaucoup ça, ce n’est pas une légende. Yifan parvient à nous avoir une salle avec 4 consos, au 4ème étage. Salle 401. Une banquette, une petite table, une télé, deux micros et un écran de contrôle écrit complètement en japonais. 15 minutes plus tard, On arrive à lancer  «I’am a barbie girl ». Ca fait plaisir. Une heure plus tard, il faut partir, nos voisins doivent être heureux.  Un regret, nous n’avons pas chanté de Prince Royce. C’est bien dommage.

200 mètres plus tard, Romain trouve une salle d’arcade old school. Il reste des pièces de 100 yens dans le pot commun, nous sommes donc obligé de nous arrêter.

Quelques parties plus tard, la salle ferme, on se rentre tranquillement. Pierrot récupère ses affaires et prend un taxi direction chez ses cousins. Il est 1h30. On doit se lever un 5h20. Coup dur.

Day thirteen

Levé… Aucune idée. JL avant. Pour lui, c’était direction Shinjuku et le magasin mapCamera pour constater l’engouement des japonais pour les appareils photos. 13h00, JL est revenu, tout le monde est douché. On peut commencer la journée. Le temps est encore mauvais, mais bon il ne pleut pas. Profitons en pour faire les courses. Direction le quartier électronique Akihabara. On espère trouver des babioles à ramener. Et bien, c’est pas évident. Il y en a tellement partout… On tourne un peu. Pierrot voulait un KFC pour manger, le hasard fait bien les choses. A noter, le KFC, au japon, c’est clairement pas ça… On ressort vite, l’estomac un peu plus rempli, c’était l’objectif. On enchaîne les boutiques, figurine, vieux jeux, tee-shirts et goodies en tout genre. Finalement, malgré le choix, on ne trouve pas grand chose. Heureusement, au détour d’un magasin, (ou plutôt à son 3ème étage) on découvre de vieilles bornes arcades. Une partie de Street of Rage, ça ne se refuse pas.

On tourne, on tourne, on tourne. La soif arrive. Et nous avons deux heures avant notre rendez-vous chez les cousins de Pierrot, Alex & Sophie. On se dirige vers leurs stations pour s’arrêter dans un bar. Quelques rafraîchissements plus tard, nous nous retrouvons coincé en bas de leur immeuble sans le digicode et sans comprendre comment les appeler. Une loose de plus. Heureusement, Alex rentre du travail quasiment au même moment. Facile. S’ensuit un apéritif, y’a pas, la famille Bergerolle sait recevoir. Direction le restaurant, nous sommes attendu à 20h30 et les japonais ne rigolent pas avec l’horaire. Salle privé dans un décors typiques. On est pas mal ! Le repas est excellent, assurément le meilleur que nous ayons mangé au Japon. Fin du repas, en lisant le blog, les cousins avaient prévu un gâteau d’anniversaire pour Yifan ! Un happy birthday, et un fraisier dans le ventre, nous repartons pour un dernier verre à leur appartement.

Nous repartons vers 1h00, en taxi direction Shibuya. On voulait le fameux carrefour, le taxi nous dépose dessus. Parfait. Par contre, il n’y a pas beaucoup de monde qui traverse.   On se rentre tranquillement. A cette heure-ci, la température est plus supportable. ça fait plaisir.

Day twelve – wet day

Aujourd’hui, on prend le Shinkansen. Et quand on prend le shinkansen, on se lève. 8h45, Pierrot est le premier levé. Mais pierrot ne prend pas sa douche en premier. C’est comme ça. Une pierrade plus tard. On sort du ryokan. Et là, il fait chaud. Très chaud. Vraiment très chaud. Beaucoup trop chaud pour JL. On prend le tramway (pas facile de se faire à leur sens de circulation), et nous voilà dans la gare climatisée. C’est mieux !

Prise des tickets, on part dans 40 minutes. Un caramel machiatto dans le mac do de la gare rt c’est parti pour 5 heures de Shinkansen avec une escale de 40min à Osaka, le temps de s’acheter à manger, c’est parfait.

We be back at Tokyo City. On est un peu comme à la maison maintenant. Direction Shibuya et notre dernière location airbnb. Il pleut, et pas qu’un peu. (Les japonais rigolent lorsqu’ils voient quelqu’un avec une capuche. Nous rigolons de voir un japonais avec un parapluie. Le choc des cultures sans doute). Si le concierge nous parle, on doit juste lui dire qu’on est les amis de Micah…. Louche. On découvre l’appart que l’on a presque trouvé facilement. C’est petit. Limite un peu juste pour quatre.

Yifan veut faire une soirée Salsa. Nous trouvons donc un bar à bière. Le mec qui a inventé internet est un génie. Séparation du groupe, direction le bar pour ceux qui ont encore un peu de dignité musicale. Un peu compliqué à trouver, comme d’habitude.

Nous goûtons des bières japonaise et américaine. La palette gustative est très large  : pamplemousse, cacao, café, barbecue, houblonné… 10000 yens plus tard, nous partons pour le burger king du coin. A noter, après une bière, JL est bilingue, ET, est plus efficace que le tomtom local. 10 minutes plus tard, nous découvrons avec stupéfaction que le triple wooper n’est pas à la carte… Bon c’est pas grave, ça fait plaisir quand même.

On rentre tranquillement. Sous la pluie et les regards des japonais. Ils ne doivent pas comprendre le système de la capuche. Un petit arrêt au family mart. Et back to home. Yifan n’est toujours pas rentrée ?! On pierrote. Yifan arrive un peu après. La soirée s’est bien passé apparemment. Mais le prélude de Prince Royce n’a pas été joué. Coup dur.

Demain, ils annoncent encore une journée de pluie. Ce sera l’occaz de faire du shopping.