Levé 10h00. Direction la station de métro Inari pour visiter le Temple Fushimi Inari Taisha.
Premier Achat de baguettes pour Yifan. Nous n’aimons pas les clichés. Et en plus, nous avons faim. Arrêt dans un petit resto pour manger des sushis. (Les Japonais font du bruit en mangeant).
Rassasiés, nous découvrons l’entrée du temple. Une poutrerie de charpentier Japonnais. Enfin, s’il y avait une bonne lumière. Comment tirer une bonne photo avec un soleil à son zénith ?
Nous commençons l’ascension des quelques kms en passant sous une juxtaposition de toriis (les portes rouges japonaises trop classes) qui nous mènerons au sommet du temple. Première intersection, prise de risque, on prend la sortie de route. Nous nous retrouvons dans une forêt de bambous. On marche. On marche. On voit un cimetière. On marche. On marche. On rejoint la route. On se dit qu’on a trop marché. On a soif. Un distributeur ! Improbable mais c’est parfait. Deuxième prise de risque sur les boissons.
On continue sur la route. On marche. On marche. On monte. On monte. On passe un torii. On marche. Nouvelle intersection. Un carré rouge, 4 directions, tout est écrit en caractère Japonais.
On choisit de monter. On marche. On marche. On retrouve des toriis et des temples. Un peu toujours la même chose. Un gros torii, des pierres gravées, de quoi se laver les mains et un distributeur. On marche. Arrivée au Sommet. Petite vue sur Kyoto. On a soif. Un Bar est ouvert. Quatre bières, une horde d’étudiants en entraînement de montée de marches habillés en joueurs de baseball, deux geishas remarquées… on entame la descente.
Notre premier temple est fait. Il n’y a toujours pas la bonne lumière.
Direction le centre de Kyoto pour une petite marche. Quartier d’affaire… Galerie marchande… Rue potoncho (autrement appelé rue des Geishas)… Une réserve de chaussettes cette ville !
On achète quelques plats / bières sur le retour pour manger à l’appart. Repus, nous partons à la découverte des nuits de Kyoto.
Globalement, ce n’est pas très vivant. On s’attendait certainement à quelques choses de plus déluré. Quelques endroits vendent des services à la personne pour 100000 yens. Des chaussettes tentent de rabattre les japonais dans leurs bars. (Bizarrement, personne ne nous rabat…) Finalement, on tombe sur un bar à bières. L’arrêt est obligatoire. Première bière en table. Deuxième, troisième et whisky directement au bar. Le serveur mange du riz au petit déjeuner (seule information capitale échangée). Retour chez nous pour un saké. Le saké permet de bien dormir. Ça tombe bien il est 2h30.


