10h00 : ola Qué Tal.
Petit dejeuné groupé servit par notre hôte. Un café pour réveiller les morts, une omelette, une coupe de fruits, et un jus de pena que les experts ont qualifié de mirabelle.
Nous partons à la découverte de la havane avec le chargeur solaire de pierrot accroché au sac de Romano. On sait l’occuper notre pierrot !
La Havane est une ville usée non dénuée de charme. Les voitures des année 50 sont nombreuses, des maisons / appartements délabrés, des entretenus, et une ambiance « Qué calor » ! Comme d’habitude, on se met à marcher.
« Salut, dans deux jours tu seras bronzé comme un cubain. » Ah, tiens, voilà la loose. Un cubain tchatche avec Romain et Yifan en anglais (pour un cubain c’est louche). Il dit qu’il est agent de sécurité dans un hôtel et il veut nous accompagner dans la direction du centre ville.
On marche, on marche, on marche.
Du coup, on a soif. On paye un mojito à la loose. Un deuxième et on décolle. Il a une copine de 19ans et un fils de 2 mois.
La cuanta por favor. Ça sera 40 non 50 non 60 cuc. 5cuc le mojito…. On sort du bar, la loose y retourne bizarrement… On se rend compte de la loose. On lui dit au revoir.
On marche, direction El viejo havana. Une ambiance unique. On s’arrête manger un bout (et boire un mojito). On continue de se perdre dans les rues pittoresques.
On fatigue et on décide de prendre un taxi pour rentrer à la casa particular. Taxi old school. Bonne ambiance.
On se repose pour être opérationnel pour la vie nocturne de la havane.
19h00. Yifan se fait réparer ses chaussures made in china… 1h plus tard elle revient, c’est long les cordonniers à La Havane.
20h00. On est chaud, direction le havana club, en bas de notre avenue. Aujourd’hui c’est un comique au programme… Vu notre niveau d’espagnol, on abandonne.
On se retrouve à marcher sur une 2×2 voie. Impossible pour avoir un taxi… On marche… Finalement on trouve notre bonheur. Direction la veille place de havana pour aller à la Factoria, bar cubain brassant sa propre bière. On est encore loin des clichés cubain. On mange et on boit (des girafes, ça fait plaisir). Le restau/bar ferme. Direction le El Paris où nous ne serons même pas servi. Sale histoire. Mais où est la réputation des soirées cubaines ?
JL Mojito count : 4


