9h00 : Facile mais pas trop. Direction la station de Bus. Trajet rapide et confort. Là encore sans aucun problème. D’ailleurs Pierrot voudrait un peu plus de loose…
11h. Arrivés à Cienfuegos, aucun cubain ne nous alpague, mais où est notre fan club ?!
JL prend les choses en main. On va donc marcher c’est le prix à (pas) payer. 200m plus tard, Audrey donne son sac à JL. Faudra penser à une préparation sportive pour le prochain voyage. 1,5 km plus tard, nous sommes fatigués, et le sport, ça donne soif. La pause dej s’impose. Une pizzeria cubaine. Parfait. Menu ahoro, 27 cuc pour 5, Will c’est pour toi !
Nous arrivons à la punta gorda comme prévu et trouvons la casa repérée sur le routard. On veut nos Hamac en face de la plage ! Belle maison sur plusieurs étages, des chambres bien aménagées, une superbe terrasse et la vue sur mer. Ca va être terrible. Mais… La JLoose a encore frappé ! Tout est plein, mais les cubains ne se laissent jamais abattre, on nous propose immédiatement une casa, la propriétaire vient nous chercher en voiture. Arrivée à la casa bis, nous ne sommes pas convaincus, pas de mer, un stade en face. On repart en arrière et faisons du porte à porte. Plein, plein, plein, plein… Et de rabatteurs de casa qui nous suivent partout où nous allons. Sale histoire.
On se fait appeler par une proprio dans la rue, elle a une habitation, la voisine une autre. Banco, on prend.
C’est parti pour une petite visite de Cienfuegos. Plutôt sympa, une jolie ville balnéaire. On respire. Pas trop de touriste, plutôt cool.
On se perd dans les rues, passe devant une partie de baseball, et nous tombons sur un petit bar de bord de plage. Allez.
On repart tranquillement perdre dans les rues.
19h. On a soif, très soif, le supermarché sera notre salut. On achète des gâteaux apéro, chorizo, fromage… Et bières. Le patio est sympa, l’apéro est au top, manque un peu de bière quand même… On le saura pour demain.
21h. On a faim. On décide de de rendre à la première casa. Ca avait l’air sympa. On nous propose d’attendre sur la belle terrasse, Jl accepte immédiatement. Vent force 10, un ouragan se joue là-haut, les serveurs ont le sourire puis pitié de nous et nous proposent de redescendre mais nous restons dignes, on attendra sur la terrasse.
Le repas copieux et bon, un peu plus cher que la moyenne mais ça valait le coup.
En guise de cadeau de la maison, on nous propose un cigare, ça c’est classe !
Un dernier numéro 2 en rentrant dans le patio de notre casa et on peut aller faire de beaux rêves.
JL Mojito Count : 27


